ASEM_Cycle moyen

<p><b>Avis aux lectrices et aux lecteurs :</b> </p> <p>La vidéodescription présente en alternance les propos d’une enseignante et les éléments visuels de la vidéo qui sont porteurs de contenu.</p> <p><b>Description visuelle et sonore générale</b></p> <p>La vidéo commence sur une musique moderne. On voit un logo d’une abeille ainsi que le titre « Les habiletés socioémotionnelles en mathématiques ». Tout au long de la vidéo, des questions apparaissent à l’écran, auxquelles répond ensuite une enseignante qui se filme. Son nom est Mélanie Cazabon, enseignante de sixième année. Les mots « Cycle moyen » sont au bas de l’écran tout au long de la vidéo.</p> <p><b>Mélanie</b></p> <p>Je suis une personne très ouverte. J’aime essayer de nouvelles choses. Donc pour moi, ce n’était pas nécessairement un défi; c’était plutôt plaisant, sauf de surmonter peut-être l’aspect où je n’avais jamais enseigné les habiletés socioémotionnelles. Mais je n’ai pas vraiment vécu de défis pour la qualification, parce que le bien-être et la mentalité de croissance font partie du quotidien dans ma salle de classe. Je n’avais juste jamais pensé de faire le transfert aux mathématiques. On le faisait, mais je n’ai jamais pensé de l’appliquer, comme, pour faire le travail de maths. On parlait plutôt de ça, comme, pour les récréations, les moments avec des amis, mais je n’ai jamais pensé au bénéfice que ça pouvait faire pour les mathématiques. En étant plus confiante envers mes capacités [rit] et en gérant mieux mon stress, j’ai réussi à livrer un enseignement plus riche des maths et mes élèves ont vraiment profité de ça.</p> <p><b>Vidéodescription</b></p> <p>Mélanie répond à la question suivante, qui est écrite à l’écran : « Comment décrivez-vous vos expériences avec l’enseignement des habiletés socioémotionnelles en mathématiques? ».</p> <p><b>Mélanie</b></p> <p>Ce que j’ai fait, c’est que j’ai choisi une habileté socioémotionnelle, parce que, comme je vous dis, je n’étais pas très confortable avec l’idée [rit]. J’étais très voulante d’essayer, mais je ne savais pas où ça mènerait. J’ai choisi de reconnaître les causes de stress et s’adapter au défi. Depuis le mois de septembre, dans ma classe, on travaillait la mentalité de croissance par l’entremise de discussions et de pensées positives. C’était facile pour moi d’intégrer certaines activités. Dans ma classe, on faisait de la promotion des erreurs pendant nos apprentissages. C’est correct de faire une erreur et il n’y a rien là. On peut toujours se reprendre, puis on apprend par les erreurs. Sachant que plusieurs élèves ressentaient du stress et de l’anxiété face aux maths, depuis le début de la pandémie, je trouvais que c’était important de s’adapter aux défis pour bâtir sa résilience. On a fourni aux élèves un outil pour aider à calmer l’anxiété et à gérer le stress. Ça, c’était par l’entremise de balades imaginaires, de cohérence cardiaque, d’activités de bien-être, d’être dans le moment présent. C’était vraiment intéressant et on continue à travailler cette stratégie. On a commencé en novembre, puis pour le testing provincial, on a décidé de remettre en pratique toutes ces stratégies-là. Ça a été très utile pour nous.</p> <p><b>Vidéodescription</b></p> <p>Mélanie répond à la question suivante, qui est écrite à l’écran : « Comment avez-vous ciblé des habiletés socioémotionnelles à enseigner relatives à certains apprentissages en mathématiques? ».</p> <p><b>Mélanie</b></p> <p>Si je peux suggérer quelque chose aux futurs enseignants, c’est vraiment d’avoir un esprit ouvert. Nos élèves peuvent vraiment nous surprendre.</p> <p><b>Vidéodescription</b></p> <p>Mélanie répond à la question suivante, qui est écrite à l’écran : « Avez-vous un conseil pour le personnel enseignant qui commence l’enseignement des habiletés socioémotionnelles? ».</p> <p>On retrouve le logo de l’abeille et le titre « Les habiletés socioémotionnelles en mathématiques ».</p> <p>Fin de la vidéodescription.</p>